BUTS

Qualité de vie, bien-être et santé

Le but de l’Association genevoise pour le développement communautaire est de favoriser, notamment au niveau des communes et des quartiers, une approche large de la qualité de vie, du bien-être et de la santé par la participation communautaire.

Le vieillissement démographique appelle à enrichir les relations entre générations et à cultiver de nouvelles formes de solidarité. Pour y répondre l’Association genevoise pour le développement communautaire souhaite contribuer au développement d’une société pour tous les âges.

Dans cette optique, l’Association désire voir se développer :

Tous les âges

un aménagement des quartiers adapté à tous les âges, notamment en contribuant à des projets de logements innovants (fonctionnels, ergonomiques, évolutifs) adaptés à la perte d’autonomie.

Lien social

le renforcement du lien social, intergénérationnel en particulier au travers d’actions concrètes ;

Vie des communes

les comportements favorables à la santé dans la vie des communes.

APPROCHE

Collaboration et soutien

L’Association collabore en priorité avec les autorités et les partenaires locaux pour développer ses principaux objectifs en ayant recours à des démarches participatives.

Elle peut mettre à disposition des ressources ou donner accès à des compétences spécialisées.

Elle peut aussi agir en son propre nom ou encore soutenir toute forme d’initiative susceptible de promouvoir le développement communautaire.

Réalisation, évaluation et valorisation

Elle favorise également la mise en place des changements souhaités après avoir contribué à valider leurs faisabilités, en collaboration avec les différentes parties prenantes (voir collaboration tripartite). Enfin, elle en évalue l’impact et en valorise les résultats.

Elle ne souhaite en aucun cas se substituer à d’autres groupes déjà actifs.
Elle sera donc attentive à la lisibilité des actions qu’elle entreprend.

Développement communautaire participatif

Le champ du développement communautaire est vu de façon à inclure, par exemple, les actions sur l’environnement naturel et construit, les comportements individuels et collectifs, le lien social, etc. Une attention particulière est portée à ce que beaucoup considèrent comme « le bien le plus précieux » à savoir la santé, que l’on peut assimiler au « bien-être physique, mental et social ». Le terme de santé s’entend non pas dans le sens d’absence de maladie par l’action médicale, mais par l’intermédiaire de ses déterminants : environnement, modes de vie, services, etc.

L’Association genevoise pour le développement communautaire souhaite appliquer une démarche participative pour favoriser le développement communautaire en visant à la fois la qualité de vie de la population et le bien-être de l’individu.

Si c’est bien à l’échelle régionale et locale que l’Association se propose d’agir, elle ne néglige pas pour autant une vision globale, par exemple en référence aux documents fondamentaux que sont les Objectifs du Millénaire pour le Développement de l’ONU, la Constitution (1948) et la Déclaration de Alma Ata (1978) de l’OMS ou la Charte d’Ottawa.

Cette approche implique une réflexion sur les fondements de la société actuelle et ses défis vitaux comme l’étiolement du lien social, le vieillissement individuel et démographique (défi social et démographique).

DÉMARCHE PARTICIPATIVE

Il s’agit de permettre aux communautés concernées d’exprimer leurs problèmes et leurs besoins, de définir des priorités et de préciser les actions à entreprendre en vue d’un développement équitable, durable, générateur de qualité de vie.

Une communauté est une collectivité caractérisée par des liens spécifiques, qui partagent des intérêts communs et s’engagent dans des actions concertée. La communauté peut s’identifier autour d’un lieu de vie (commune ou quartier) ou d’une valeur commune (mode de vie, croyance, tradition).

Chaque membre de la communauté doit avoir la possibilité de faire entendre sa voix en toutes circonstances dans toutes les décisions impliquant sa qualité de vie.

Pour être efficaces, les actions développées dans le but de promouvoir la santé de la population, dans une perspective de qualité de vie et de bien-être, devront mobiliser les ressources individuelles des personnes et agir sur l’environnement et les modes de vie. Ainsi, le maintien de la capacité fonctionnelle à travers les différents âges de la vie pourra ainsi être préservé.

QUALITE DE VIE ; BIEN-ÊTRE ; SANTE

La qualité de vie doit être vue comme une notion produite par des décisions collectives et politiques, résultante de la gestion du développement communautaire, comme par exemple celle des nuisances (bruit, mobilité, sécurité, etc.), associée à un environnement construit favorable (accès à l’habitation, crèche, voies de mobilité douce, etc.) et une certaine organisation de la vie publique (droits démocratiques fondamentaux, p. ex.). Diminuer les nuisances, favoriser l’aménagement et le cadre de vie par des structures et des services adéquats, permet à tous de bénéficier d’une bonne qualité de vie, pour autant que des éléments individuels ne viennent pas s’y opposer.

Le bien-être, est une notion propre à l’individu, issu de ses comportements, ses relations sociales, l’adéquation entre l’image qu’il se fait de lui-même et un certain idéal, ainsi que par la gestion d’une éventuelle atteinte à sa santé et à ses conséquences. Si c’est bien de l’expérience de vie de l’individu dont il s’agit, elle se construit confrontée à la société et à ses normes. De ce fait, l’environnement physique peut être plus ou moins générateur de qualité de vie, et même de bien-être, par exemple lorsqu’il est propice au lien social.

La santé représente une condition, un résultat, mais aussi un indicateur de développement soucieux d’équité et de respect aussi bien entre les membres d’une communauté qu’à l’égard de son environnement.

Société pour tous les âges

Le viellissement démographique se caractérise par le recul de la natalité et l’allongement de la durée de vie.

Notre pays fait partie des meilleurs à l’échelle mondial en ce qui conserne l’espérance de vie à la naissance. C’est un succès de notre société. Le système des assurance sociales assure une certaine sécurité matérielle aux personnes âgées. Son financement se base sur la solidarité entre générations. Mais ce contrat entre générations est mis à mal d’un point de vue économique et social. Economique, car la Suisse a un taux de natalité bien inférieur au seuil du renouvellement démographique et la charge qui pèse sur la jeune génération, insuffisante en nombre, sera de plus en plus lourde. Sociale, de par le défi du bien vieillir, qui implique la reconnaissance par l’autre dans un rôle nouveau ou retrouvé.

Une des manières d’approcher le défi social et démographique est de développer une politique basée sur les opportunités que peut offrir une population âgée en santé en termes de collaboration avec les autres générations (liens intergénérationnels) et de contribution potentielles à l’économie, au travers des compétences ainsi préservées et transmises. C’est une vision sans doute utilisatrice de la longévité, ou rôles et activités vont de paires, qui nécessite un débat de société.

Dans la pratique, les activités dites « intergénérationnelles » sont souvent limitées à des actions « tous publics » ponctuelles. Nous pensons que l’intergénérationnel émerge plutôt d’une expérience commune structurée, qui devient fondatrice d’un nouveau vécu favorisant l’émergence d’un « esprit » d’association, de quartier, de ville.

Des travaux effectués dans le cadre des Nations-Unies ont proposé d’intégrer la notion de vieillissement dans toutes les politiques publiques avec comme objectif d’aller vers une société pour tous les âges (politique du mainstream). En effet, l’âge n’est pas un problème en soi, seules les limitations fonctionnelles (marcher, entendre, se souvenir, etc.) le sont. Elles peuvent toucher tous les âges de la vie, même si elles sont surreprésentées dans la population âgée. Ainsi, développer des politiques publiques qui permettent de diminuer l’impact de ses limitations au quotidien en développant les concepts de qualité de vie et de bien-être permettrait un grand pas vers plus d’autonomie et une contribution efficace pour relever le défi social et démographique.

C’est essentiellement au niveau des communes et des quartiers que devrait s’ancrer le concept de société pour tous les âges. En effet, à cette échelle se focalisent les besoins liés au développement de la qualité de vie de la population et c’est aussi là où les interventions concrètes prennent tout leur sens. Logement, mobilité, environnement, pour ne citer qu’eux, sont trois domaines incontournables des plans directeurs communaux. C’est pour cette raison que notre Association privilégie comme niveau d’intervention celui qui se trouve le plus proche des citoyens et vise à se faire le partenaire des autorités communales et de la société civile (collaboration tripartite), pour promouvoir et mettre en œuvre un modèle de développement communautaire adapté à tous.

Cette approche implique une réflexion sur les fondements de la société actuelle et ses défis vitaux comme l’étiolement du lien social, le vieillissement individuel et démographique (défi social et démographique).

QuaiEtFamille

LE DEFI SOCIAL ET DEMOGRAPHIQUE

Les sociétés industrialisées, essentiellement basées sur la performance professionnelle pour les deux sexes, se retrouvent dans l’obligation de plus en plus évidente de « confiner » les générations les plus jeunes et les plus âgées dans des lieux de vie (crèches, écoles, EMS, etc.) qui les séparent la plupart du temps des générations dites « actives ». Le lien social s’en trouve donc affaibli et les générations évoluent de plus en plus sur des voies distinctes. La connaissance et la reconnaissance mutuelles s’étiolent.

A ce défi social s’ajoute le défi démographique. Plus de 20’000 personnes de 80 ans et plus vivent aujourd’hui à Genève. Plus de 80% d’entre elles vivent à domicile, le reste en établissement médico-social (EMS). Moins d’un tiers ont recours à l’aide et aux soins à domicile, mais les besoins sont en augmentation (de 1999 à 2011, le nombre d’heures de soins à domicile a doublé). Rien donc de « médical » dans cette majorité des cas, mais un nombre infini de problèmes et de besoins relatifs à la santé et au développement social.

Pour être efficaces, les actions développées dans le but de promouvoir la santé de la population, dans une perspective de qualité de vie et de bien-être, devront mobiliser les ressources individuelles des personnes et agir sur l’environnement et les modes de vie. Ainsi, le maintien de la capacité fonctionnelle à travers les différents âges de la vie aura de plus grande chance être préservé.

Approche tripartite au niveau des communes

Les interventions de l’Association se construisent principalement selon un modèle de collaboration tripartite, incluant les autorités et les partenaires locaux. Les premières représentent les autorités politiques et les administrations, les seconds les habitants, les associations et les institutions actives dans la zone géographique d’intervention choisie.

Parce qu’elle détient la connaissance des problématiques réelles qui la touchent et la capacité d’intervenir dans leurs résolutions, la société civile assure la pertinence indispensable à la mise en œuvre des politiques sanitaires et sociales en Suisse. Comme le souligne le Conseil fédéral, la problématique des aidants non professionnels est une illustration de la recherche d’équilibre entre pouvoirs publics, communauté et choix de vie.

Le Conseil fédéral stipule aussi que c’est au niveau communal que doit se mettre en place une partie importante de sa politique « vieillesse ». Cette dernière a pour objectifs de mieux reconnaître la contribution des personnes âgées à la société, de veiller à leur bien-être et d’assurer leur sécurité matérielle. Elle doit encourager leur autonomie et leur participation à la vie publique, et renforcer la solidarité entre générations.

De son côté le canton a également développé ses politiques et défini ses priorités.

Il souhaite le maintien à domicile dans les meilleures conditions possibles ; le placement en EMS lorsque demeurer à domicile n’est pas possible.

Il propose de favoriser l’innovation, notamment par le biais de projets pilotes et en particulier de dynamiser la réalisation d’habitats adaptés à la demande, en diversifiant les stratégies, notamment en favorisant la mixité au sein d’immeuble locatifs, l’échange de logements, les adaptations de logements existants, le développement de partenariats public-privé.

Il souhaite favoriser les initiatives communales, associatives ou privées dans une logique de proximité.

Espace public, vie publique et habitat adapté

ACCOMPAGNER LA CRÉATION D’UN HABITAT ADAPTÉ (FONCTIONNEL, ERGONOMIQUE)

Les fonctionnalités d’un habitat doivent être en phase avec les fonctionnalités des individus (cas du vieillissement en particulier). Les besoins et les évolutions étant multiples, la construction d’un habitat polyvalent et évolutif est essentielle.

L’état actuel des bâtiments à Genève montre que la gestion de la mobilité au sein des appartements, à l’intérieur des immeubles et aux seuils des immeubles est problématique. On relève une présence de seuils, de marches, de rampes de fortes déclivités, de lourdes portes d’entrée et d’ascenseur, d’absence de mains courantes ou mal positionnées, des tailles d’ascenseurs insuffisantes, des sols glissants, des espaces communs mal éclairés, des salles de bains inadaptées aux troubles de la marche, etc. Ces obstacles à la mobilité sont souvent la cause du déménagement des personnes les moins mobiles. En termes de nombre, il s’agit essentiellement d’aînés. Le coût de ce déménagement vers des structures « plus adaptées » a un impact économique et social majeur tant sur l’individu que sur la société. Il ne s’agit pourtant que de contraintes de construction. Il faut démontrer que faire pour bien-faire n’est pas plus cher, et que les normes peuvent et doivent être discutées par les professionnels quand elles interfèrent avec les besoins. La norme est devenue en architecture une sorte de soin palliatif à la créativité.

L’adaptabilité des volumes du logement au fil de l’évolution de la famille est un autre critère essentiel de la qualité d’un habitat. Les besoins changent au fil des décennies. L’aîné demande à être plus indépendant, les enfants quittent le logement, la personne dépendante a besoin d’une présence à domicile permanente. Il faut retirer une pièce, obtenir une entrée indépendante, décloisonner ou recloisonner. Des personnes vivent, sans forcément le souhaiter, dans un espace surdimensionné, alors que d’autres ne trouvent pas de logement de taille suffisante. Cette adaptabilité de volume peut offrir une partie de réponse au besoin de logements supplémentaires et ce à un meilleur coût.

Concernant l’usage qui est fait des pièces d’habitation, les besoins des familles ont évolué. Les logements sont encore souvent construits sur la base d’une pièce par fonction et les volumes y sont assujettis, alors que le coût élevé du logement et les habitudes familiales demandent plus de polyvalence. Certains nouveaux besoins liés aux loisirs et au télétravail apparaissent et ne sont pas couverts. Où mener des activités de bricolage ou créatrice, où s’installer sereinement un jour pour travailler ? Finalement, l’absence de chambres d’amis pour des questions de coût prétérite les visites de tiers. La mise à disposition de logements supplémentaires à partager au sein d’un immeuble est un besoin clairement présent actuellement.

Des exemples de constructions pensées en ce sens existent, explorant chacune une partie des problématiques, mais aucune (à notre connaissance) ne paraît à la fois pleinement favorable à la mobilité, fonctionnelle et adaptable. Parmi les partenaires potentiels, les coopératives d’habitation peuvent tenir un rôle important si elles intègrent les valeurs participatives (adaptation aux besoins de tous). Jusqu’à présent à Genève, ce modèle d’habitation a attiré des habitants plutôt jeunes. Ainsi, la question de la mobilité fonctionnelle n’était pas centrale en dehors des questions écologiques, ou de « mobilités douces » au sens large. Aider les coopératives à percevoir les fonctionnalités en lien avec le vieillissement, et le besoin de prévenir l’isolement, sont deux objectifs complémentaires importants pour l’AGDC.

Finalement, quels que soient les partenaires qui se présenteront, l’AGDC souhaite œuvrer à voir se créer des conditions qui permettraient de mettre en place une expérimentation d’un habitat adapté et évolutif.

ESPACE PUBLIQUE ET VIE PUBLIQUE

Les opportunités de rencontre entre les individus, promotrices de lien social, doivent être favorisés par un aménagement adéquat des quartiers. En effet, comment se croiser si les itinéraires ne coïncident jamais. Partir en voiture de son domicile pour aller travailler dans un autre quartier, ou une autre ville, et revenir le soir après avoir fait ses courses ou pratiqué ses hobbies en dehors du quartier ne permet pas de croiser les autres habitants. Dans ce contexte, la génération de lien est impossible. Il n’y a donc aucune « Vie de quartier », les commerces de proximité ne peuvent subsister dans un tel contexte, et les activités résiduelles de vie économique finissent par se déplacer en dehors du quartier. Le quartier résidence devient un quartier dortoir.

Dans le contexte d’une demande importante de création de logements à Genève, des quartiers entiers sortent de terre. Il s’agit de programmes ambitieux de centaines voire de plusieurs milliers de logements. Si la volonté d’en faire des « éco-quartiers jardins » est bien présente en termes d’énergétique des bâtiments, voire d’espaces verts, les réaliser dans une optique de développer la qualité de vie des futurs habitants est complexe. En effet, si la question de la mobilité est la plupart du temps abordée en théorie, celle de la création du lien social et des services de proximité ne sont souvent qu’ébauchés, quand ils ne sont pas considérés comme non relevant du devoir du planificateur. Et quand bien même ces sujets sont abordés en théorie, les accompagnements manquent pour faire face à des problèmes de cloisonnement géographiques majeurs, des décalages temporels dans les réalisations planifiées (retard de la mise en place du tram de plusieurs années, par exemple), des phases de constructions réparties sur plusieurs années qui prétéritent l’installation de commerces et diminuent la qualité de vie du voisinage. Il est donc nécessaire de pouvoir aider les planificateurs à promouvoir la qualité de vie dans les nouveaux quartiers. Pour ce faire il faut activement favoriser les opportunités d’interactions entre les habitants. Une des clés, pour les autorités, est de soutenir d’emblée la création de services de proximité adapté aux besoins de la population (tea-room, crèche, etc.), lesquels vont contribuer à créer un cercle vertueux de promotion de vie de quartier dans l’espace publique, lequel sera générateur de lien social, donc de qualité de vie.

PROJETS

L’Association genevoise pour le développement communautaire a été créée en 2015 grâce à une Fondation privée genevoise souhaitant favoriser la promotion du développement de la qualité de vie au sein des communes du canton. Pour ce faire, des compétences ont été identifiées dans le domaine du développement communautaire participatif, en particulier en lien avec le vieillissement.

Il est important pour les futurs partenaires de l’Association de savoir dans quelles mesures l’application des concepts exposés peut conduire à des réalisations concrètes qui répondent aux besoins de la population cible. Deux exemples d’approches sont proposés ici, et nos projets sont consultables en dessous :

Exemples d'expériences communautaires


Projets réalisés


SOUMISSION DE PROJET

L’Association genevoise pour le développement communautaire (AGDC) a vocation de collaborer avec les communes aussi bien au niveau conceptuel que pratique, voire financier, grâce au soutien d’une Fondation privée genevoise. L’AGDC accepte de recevoir des demandes préliminaires d’associations pour autant qu’une collaboration avec les autorités locales soit prévue dans le projet.

Le processus de soumission est différent pour les communes et les associations.

Les communes peuvent adresser au secrétariat (secretariat@developpement-communautaire.org) de l’AGDC une lettre d’intérêt indiquant leurs volontés de développer un projet visant la qualité de vie de la population résidente. L’AGDC souhaitant favoriser un processus collaboratif entre les autorités locales, les associations et la population résidente (future bénéficiaire), il sera nécessaire de faire figurer dans le document non seulement la nature du projet, le public-cible, les ressources éventuellement mises à disposition, ainsi qu’une personne de contact, mais également les partenaires potentiels.

Suite à une première lecture visant à valider la compatibilité entre la nature du projet, la politique de l’AGDC et ses priorités, un préavis est formulé et la personne de contact est informée.

Le projet, une fois finalisé, devra faire l’objet d’une approbation par le Comité de l’AGDC, lequel relaiera, en cas de besoin, la demande de financement auprès de la Fondation privée genevoise partenaire.

Les associations devront contacter les communes sur les territoires desquelles elles souhaitent développer des activités. L’AGDC accepte néanmoins de recevoir dans un premier temps des lettres d’intention provenant directement des associations, afin d’en évaluer l’adéquation avec sa politique et ses priorités. L’AGDC fera ensuite connaître sa position par écrit. Très exceptionnellement, l’AGDC pourrait entrer en matière pour un projet n’impliquant pas les autorités communales.

La structure suivante sera respectée pour la soumission des projets, les associations pourront s’en inspirer pour effectuer une demande préliminaire avant de contacter la commune concernée.

  1. Buts du projet
  2. Estimation des besoins (effectuée selon un processus participatif)
  3. Objectifs du projet (basés sur les besoins précédemment identifiés)
  4. Description des activités à entreprendre
  5. Liste des ressources à mobiliser
  6. Esquisse d’un système d’évaluation qui permette de porter une appréciation sur le degré d’atteinte des objectifs après une période définie
ASSOCIATION

L’association genevoise pour le développement communautaire est une association sans but lucratif. Elle est politiquement neutre et confessionnellement indépendante.

Le siège est situé dans le canton de Genève.

Le but de l’association est de favoriser, notamment au niveau des communes et des quartiers, une approche large de la qualité de vie, du bien-être et de la santé par la participation communautaire.

Télécharger les statuts.

Adresse

Association genevoise pour le développement communautaire

18, rue Adrien Lachenal

1207 Genève

 

Email

secretariat@developpement-communautaire.org

Le comité assure le fonctionnement de l’association.

Le Comité de l’Association est composé des personnes suivantes:

Jean Simos, président

Yann Boggio

Peter Brey

Marc Maugué

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